Boîtier électronique P-Tronic : pour augmenter la puissance et le couple du moteur turbodiesel, essence et hybride

Phénomène connu

Manque de puissance, manque de couple, sensation d’étouffement du moteur, sont autant de symptômes qui décident un nombre croissant d’automobilistes à chercher une alternative. Plutôt que de changer de véhicule, une reprogrammation de l’injection constitue la solution la plus rationnelle et la plus acceptable. Un procédé que les constructeurs utilisent eux-mêmes pour proposer différents niveaux de puissance et de couple sur base d’un seul et même moteur. Différents dispositifs de existent pour augmenter les performances des moteurs, mais le boîtier additionnel est de loin le plus sûr, le plus fiable, le plus efficace et le plus rentable à long terme.

« Le bénéfice en termes de puissance et de couple se montre particulièrement convaincant » - Diesel Mag

Banc de puissance

Pour calibrer ses boîtiers additionnels selon les spécificités des dispositifs d’injection auxquels ils s'adaptent, P-Tronic réalise toutes ses mesures sur son propre banc de puissance. Cet outil, qui peut révéler des puissances d’origine supérieures à celles annoncées par les constructeurs automobiles, permet aux ingénieurs de P-Tronic de développer des boîtiers additionnels qui respectent de manière tangible et vérifiable les tolérances prescrites par les constructeurs automobiles. Et d’annoncer de vraies valeurs de puissance et de couple après correction et non des données théoriques, comme c’est trop souvent le cas dans le secteur.

« Les tracés d’origine sont pratiquement conservés, mais ont été déplacés vers le haut, ce qui améliore les reprises et les accélérations » - Le Soir

Tests de puissance

Ce banc est aussi utilisé à la demande des clients désireux de vérifer l’augmentation de puissance de leur véhicule. Lorsqu’ils se présentent à l’atelier, un premier passage est effectué avec le véhicule d’origine. L’ordinateur enregistre les données. Le boîtier additionnel est ensuite connecté au véhicule qui effectue un second passage. Au terme de celui-ci, l’ordinateur dispose des données avec et sans boîtier. Il les met en parallèle pour immortaliser l’augmentation de couple et de puissance sous forme de chiffres et de graphique.

Voir un exemple de courbe de puissance